Un parfum poétique de ses séjours en Afrique nous est offert par Geneviève Feurstein-Garrigou.
Toi ma lune couchée à l’horizon d’étoiles,
Dans ton ciel des Tropiques et ses bougainvilliers
Je ne te verrai plus mon Afrique enfiévrée
Car j’aime le printemps, aube de mes pensées.
Mon horizon de mer et terre et ciel et sable
Mes montagnes de dune et la pluie des manguiers,
Le village est silence au soleil écrasé,
Le fleuve est jaune et lent et sa barque chargée.
Je ne te verrai plus mon Afrique insolente,
Effacées tes odeurs intimes à ta beauté,
Tes enfants, la lagune et Venise à Ganvié
Car les buis seront verts dans nos yeux cet été.
Belle inspiration poétique digne des poètes voyageurs qui m’ont poussé vers l’ailleurs et ses beautés sauvages.
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Je ne suis jamais partie en Afrique mais j’ai quitté moi aussi une petite île de l’Océan Indien : ce poème m’a émue profondément. Merci. J’ajoute que les photos sont remarquables et illustrent à propos le poème.
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Merci Geneviève pour ce doux regard sur l’Afrique et ses merveilleux paysages
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Soyez remerciés pour ces images qui sont un écrin pour ce poème et l’illustrent très justement.
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